T.G Investigation.

[Andrew]

Bon, ici sera présenté T.G. Investigation.
Série policière mettant en vedette l'agent Eldy Keynn du T.G

Bientôt l'épisode 1 en ligne, mais je vous préviens!
Chaque épisodes fait au moins une dizaines de pages ( comme a mon estimation).



Épisode 1
Réaparu


Sonnerie de téléphone portable, je décroche.
- Keynn.
- Eldy, peux-tu allée vérifier au Peask Street latitude Est, longitude West, près de Longking Park? D’Après notre sources, il y aurait eu du grabuge.
- Kenny, je suis affecté au terrain, pas a la vérification après action. Lui fis-je remarquer.
- Il y en aurait encore à se qu’Il parait. Et le temps de ton passage a Vancouver, tu peux bien te sacrifier un peu, non?
- Ok. Pense a m’envoyé les plans complet de Manhattan et de Vancouver Est.
Sur ce je raccroche, empruntant le boulevard pour me rendre dans un bout de cette grande ville où je suis d’affectation pour une semaine. Semaine qui achève, en y pensant. Enfin, New York et Washington me manque. Encore cinq minutes à rouler à bonne vitesse et je m’engage sur l’allé quasi-désertique de Peaks Street. Garant ma voiture dans la large étendu de sable et de rocaille tenant lieux de stationnement voir cour de l’entrepôt me faisant face, seul bâtisse de cette rue. Avançant vers le lieu a l’apparence vide de vie, je scrute de l’oeil les alentour. De vieilles carcasses de voitures des années quatre-vingt-dix ici et là. Tous couverts de rouille, en cendres parfois. Leurs heures glorieuses étaient révolues depuis longtemps.
Arriver a l’entré, du bruit un peu plus au fond attire mon attention. Sortant mon arme, serré fort dans mes deux mains, le doigt sur la détente prête a toute éventualité, j’avance tranquillement. Après quelques mètres, j’aperçois un homme en tenant un autre en joute avec un objet que je ne peux voir. Prenant encore plus de prudence, j’avance jusqu’à un amoncellement de petit tonneaux. Observant maintenant l’arme que je pouvais maintenant voir et reconnaître comme était un pistolet silencieux. L’homme l’aillant en sa possession était habiller d’un long manteau noir en feutrine et de chaussures hautes gamme. Certainement pas un de ces simple chasseurs de primes.
-Non, non, ne me tuer pas. Je vous dit que je ne l’ai pas tuer, je ne sais rien.
Par contre l’autre homme, lui, avait tout l’air d’un petit brigand, voir revendeur de stupéfiant des rue. Habiller d’un jeans, d’un t-shirt sale et d’un blouson déchiré par endroit, que je qualifierais de loques.
- Tu es pitoyable. Pars!
L’homme au pistolet lui envoya son pied a la figure. L’autre alla s’écraser contre le béton souillé tenant guise de plancher, avant de filer tel un lapin apeuré. Avant que le premier n’ai l’idée de se retourner ou pire, partir, je m’avançai braquant vers lui mon pistolet et ma plaque.
- G.T. Plus un geste!
L’individu se retourna, expédiant mon fusil d’un coup de pied a mon poignet. Avant qu’Il ne reprenne charge, je sortis en un éclair un couteau de chasse pratique toujours accroché dans mon dos, lui plaquant sous la gorge alors qu’il criait:
- S.M.P, arrêtez!
Hésitante, je ne céda que lorsqu’Il me montra sa plaque en argent, un hibou au ailes déployé tenant une enveloppe sous le sceau de confidentialité gouvernemental. Un Messenger.
- Un Messenger. Fis-je sur un ton sarcastiquement étonner.
- Ne fais pas ton hypocrite, Keynn.
Mes doutes furent bientôt fondé, c’était bien la personne que je pensais. Visage identique a l’époque. Seul les cheveux nouvellement blond et des joue non rasée depuis sûrement quelques semaines faisaient la différence. Mais plus important, des questions se bousculaient dans ma tête, et je devais donc m’en mordre la langue pour ne pas les laisser se former.
Mais il intervint en premier.
- Je te connais assez pour savoir que tu ne l’ai pas.
- Tu te la joue Casanova? Hum. Sache que je suis du T.G, c’est du passé maintenant. Rétorquais-je.
- Tu voulais pourtant le F.B.I, que je sache.
- Sa fait cinq ans, Crow, le T.G avait bien mieux a m’offrir. Bien plus a me promettre.
- Toujours la même a se que je vois.
- Tu ne sais même pas qui je suis ou qui j’ai pu être. M’éclamais-je avec mépris.
Sentant mon portable au mode vibreur dans la poche de mon manteau, je dérochais en tournant le dos a l’imbécile se tenant devant moi quelques minutes a peines plus tôt.
- Keynn.
- Et bien, dis donc, sa t’as pris un sacré bout de temps. Tu as croisé King Kong ou quoi? Quoique même lui tu l’aurais mi K.O en un rien, donc...
- Kenny, écoute, je n’ai pas le temps. Tout est O.K, négatif, il n’y avait pas d’activité suspecte ou autre dans l’entrepôt. Je t’en dis plus tout à l’heure.
Je raccroche, me retournant vers Crow. Plus là, disparu. Scrutant les environs en restant calmes, je fini par poussé un cris de rage avant de regagné ma Camaro. Un coup sec sur la pédale a gaz et me voilà repartie vers Vancouver Est, où avait lieu un défiler pour je ne sais quel raison. La seul chose que j’avais réussis a savoir lorsque on m’avais affecter a sa, aussi, c,est que je devrais y être présente.
Fouillant sur mon portable pour les plans de cette partie de la ville avec là quel je ne suis que peu familière, une penser franchis soudain mon esprit.
Composant rapidement le numéro de Kenny alors que je m’engageais a nouveau sur le boulevard, je n’attendis même pas deux sonneries qu’Il répondit.
- Kenny a l’appareil. Voie joyeuse.
- Kenny tu me passe immédiatement Steph.
- Ok.... Sa voie se fit éloigner. Steph! Couguar veux te manger, dépêche!
Raccrochant, j’entendis le déclic de changement de ligne, puis la voie bienfaisante mais plaisanterie de Steph.
- Stephanie à l’écoute de couguar affamer, a vous, couguar en proie de me manger!
- Je ne suis pas un couguar et on a des chose bien plus importantes a mettre au point!
- Avec ou sans sel?
- Steph, écoutez-moi! J’ai besoin que vous me fassiez une recherche express sur quelqu’un.
- Se n’est pas plutôt le rayon de Kenny sa...
- Sylver Crow. Coupais-je sèchement.
- Ok, sa m’en dit long. Alors je cherche, patientez, Eldy.
Moment de silence. Après quelques minutes durant a n’entendre que les touche de l’ordinateur, je coupais le silence.
- Vous avez quelque chose?
- Écoutez, j’ai parcouru la base du .T.G, celle du F.B.I sans rien trouver. Si vous voulez, je peux vérifier pour se qui me reste de la C.I.A, mais les chances sont infimes. Tout a disparu sur lui. C’est comme si... Il n’existait pas!
De son ton surpris, je compris vite.
- Ne perdez pas votre temps dans la C.I.A, essaye de percer dans la base de Secret Défense.
- Ok... Hum... Êtes-vous sûre que... Écoutez, sa prendra un peu plus de temps que prévu. Alors vous m’écoutez, madame la grande chef, pendant mes recherches, vous prenez direction carnaval et vous y restez planté!
- Ok.
Je raccroche. Me dirigeant vers la prochaine sortie pour arriver à Main Street, que je parcouru d’un bout a l’autre pour arrêter finalement au Marine Sushi, pour mon premier et dernier repas de la journée. Garant ma voiture dans sur le bord de la rue, traversant la rue pour rejoindre le resto. Enlevant mes lunettes fumées en entrant, habituant mes yeux au peu de lumière. Un ou deux client par ci par là, rien de plus. Un vielle homme en kimono au comptoir, L’air serein. M’assoyant au comptoir, dans un coin plus reculé. Le vielle homme m’apporte une soupe sans que je n’ai commandé quoique se soit. Me faisant un sourire bienveillant, il repartit vers ses autres clients.
Sortant mon portable pour vérifier si les cartes de Kenny étaient arriver. Oui, enfin! Parcourant un peu les plans de la ville, je trouve enfin Marvin Long Park. Pas trop loin d’où je me trouve, le temps de passer deux ou trois coup de fil. Composant rapidement le numéro de Kenny, j’entendis immédiatement sa voie.



À suivre...

[Andrew]

Suite


- Des explications...
- Passe moi Steph. Dis-je sur un ton sec.
- Mais...
- Kenny. Continuais-je d’une voie menaçante.
Alors que le bip habituelle du changement de ligne se faisait, Stephanie répondit.
- Alors, vous voulez savoir se que j’ai?
- Oui, rien comme me connaître. Dis-je en soupirant.
- Alors, je vous préviens, sa risque de vous choquer peut être un peu.. Beaucoup.
- Allez s’y. Dis résolue.
- Silver Crow. Agent du S.M.P , soit Secret Marchal Post. Né en 1970 d’un père anglais et d’une mère canadienne, grandit dans le compté de Medley, en Oklahoma. Fait ses études a High Pachto School puis poursuis a l’université d’Oklahoma en droit. Sa petite amie actuelle le quitte, alors qu’Il amorce un entraînement intensif au F.B.I. Mis en partenariat, et attention c’est là que tout le croustillant embarque, avec Eldy Keynn, étant sous sa tutelle.
Soupirant de découragement et rageant contre moi-même alors qu’elle poursuivait. Serrant les dents, m’attendant au pire.
- De plus en plus reconnu pour ses nombreuses habilité dans le domaines des arts martiaux et d’arrestation brillantes dans de nombreuses cellules terroristes, trafique de drogues, d’armes et d’enfants, il se traces rapidement une réputation. Pistant les criminels dangereux, non pas sans quelques risques.
Nouveau soupires de ma part, non pas de découragement mais plutôt de souvenir. ’’Non pas sans quelques risques’’ était plutôt léger. Très léger même.
- Vous souriez! Je le sais, facile a deviné! Bref, on continue.
Ceci dure pendant cinq ans. Crow a 29 ans. Alors qu’il s’apprête à recevoir une promotion et partir en mission importante en Europe, il disparaît de la population sans laisser de traces. Le...
- Steph, c’est assez. Vous me direz le reste a mon retour, demain matin. J’assiste au carnaval et je prend la route pour D.C. J’y serai pour le début d’après-midi.
Je raccroche, ne voulant pas en entendre plus. J’ai a peine mangé mais peu importe. Laissant de l’Argent au comptoir, je sors a l’extérieur. Le soleil commence a peine a décliné, l’idéal pour voyager. A mon estimer, je devrais, en roulant à bonne vitesse, être à Marvin Long Park dans moins de quinze minutes. Lunette fumées, musique, on s’engage à nouveau sur Main Street. Les gens commence un peu a circuler dans les rues, par chance pas d’embouteillage. Je devrais débarquer alors que ce sera bourré de monde, et sur des centaines de kilomètres a la ronde, j’aurais sûrement l’entré la plus UP. Ce qui n’est pas pour me déplaire, mais bien au contraire. Me garant dans le grand stationnement ou il y a plus de vélo et de piétons que de voitures, j’attire déjà nombreux regards. Le peu de lumières rayonne sur la carrosserie ciré a perfection de ma voiture.
Mettant pied au stationnement avec style, retirant mes lunettes fumée, étant encombrante vue que le soleil avait décliné rapidement. Trop rapidement.
Claquant ma portière derrière moi, marchant vers la place central, visage sérieux voir renfrogné. Jetant un regard circulaire autour de moi, rien de suspect. C’était a s’y attendre. Continuant vers les estrades et points plus élevés du terrain. Rien, rien et toujours rien. Maintenant, le soleil est définitivement couché. Quelques nuages passe par ci, par là. À la radio, on annonce le début des festivités vers neuf heure trente, il est neuf heure. Petite patrouille s’Impose, m’Assurant que mon arme n’est pas visible, je m’attarde a la scène ou les haut-parleurs modèles géants crache du son. Un simple aperçus de se que sera le spectacles, l’on voit les preneurs de son ainsi que certain machiniste faire les vérifications de dernière minute le plus discrètement possible. Et si, là-bas près de la scène surélevé, un autre de ces terroriste mal intentionné n’attendait que le spectacle commence pour tout faire sauter? Mais a peine ai-je le temps de resongé que quelque chose tire sur mon manteau.
Un petit garçons que je dirais a peine âgé de sept ans me regarde, comme s’Il me disait: ‘’ Vas-y, va voir, va voir!’’ ¸
- Michael, reviens ici immédiatement. Désoler.
Une femme lui pris le poignet et l’amena plus loin en le grondant de s’être si éloigné. Moi je scrute toujours le coins sombre, près de la scène. Je n’ose pas bougé pour allé voir tellement le noir me ronge. Un coin si sombre où il peut se caché tant de chose, tant d’horreur, de malheurs.
Le début du spectacle me tira de ces pensés troubles pour me ramené bien vite a la réalité. Des danseurs s’affairaient sur la scènes, bien rapidement. Je continu de marcher pour m’enfoncer plus loin dans le parc. La pelouse fraîche plie sous mes pas. Plus j’avance, plus il y a des groupes de gens ici et là qui attendent le début du spectacle. Ils regardent comme ci comme ça les danseurs sur la scène.






Au prochain épisode